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AUXERRE-ASMFC (N.SIRI)

Sans trembler ni forcer

Pour un peu, on se serait cru à Monaco aux beaux jours.

Les 495 supporters monégasques qui avaient investi le parcage visiteurs et tous ceux qui, çà et là, avaient coloré de rouge et de blanc les autres tribunes, pouvaient chanter qu’ils étaient chez eux au stade de l’Abbé-Deschamps d’Auxerre et qu’ils étaient prêts à réserver un traitement peu orthodoxe à la Ligue : on n’a entendu qu’eux ou presque, tout au long de la partie, que leurs favoris ont remportée haut la main – un comble pour des footeux !

A l’exception de deux contre-attaques très dangereuses en première mi-temps, qui rappelaient la sacro-sainte tactique de l’ami Guy Roux à l’époque de la grande AJA, les Auxerrois n’ont jamais vraiment fait peser de menace réelle sur les joueurs de Claudio Ranieri. Les Monégasques ont contrôlé le match tranquillement, sans se précipiter, sans s’affoler, sans trembler. L’affaire était pliée à la mi-temps grâce à Yannick Ferreira Carrasco, auteur d’un doublé en vingt minutes, d’abord après un slalom de grande classe, puis en transformant un pénalty obtenu par Nabil Dirar au bout du bout du temps additionnel de la première période.

Le jeune prodige belge aurait même pu s’offrir un hat trick s’il avait converti en but au moins l’une des incalculables occasions, nettes pour la plupart, que son équipe s’est procurées après la pause. Tous les attaquants asémistes, titulaires et remplaçants réunis, se sont retrouvés en position d’aggraver le score. Malheureusement, par maladresse, par insouciance ou par manque d’application, ils ne sont pas parvenus à réussir le troisième but qui aurait scellé définitivement le sort de la partie et conféré un peu plus d’ampleur et de panache au succès de l’AS Monaco.

Même si, avec un peu plus de conviction, il y avait la place pour un carton plein, tant les Bourguignons étaient déboussolés en seconde mi-temps, cette victoire maîtrisée est précieuse à plus d’un titre. Elle met un terme à quatre nuls consécutifs, elle enrichit la série d’invincibilité de l’ASM qui en est désormais à quinze matches d’affilée sans défaite en quatre mois et, surtout, elle place notre club à huit points devant le quatrième à six journées de la fin. Peu importe le résultat de Nantes lundi soir. L’ASMFC se trouve dans des conditions optimales pour accéder à la Ligue 1 en raflant le titre de Ligue 2 au passage. Clermont et Sedan, ses prochains adversaires du mois d’avril, n’ont qu’à bien se tenir. Monaco ne fera pas de quartier.

Daghe Munegu.

Sans trembler ni forcer

Pour un peu, on se serait cru à Monaco aux beaux jours.

Les 495 supporters monégasques qui avaient investi le parcage visiteurs et tous ceux qui, çà et là, avaient coloré de rouge et de blanc les autres tribunes, pouvaient chanter qu’ils étaient chez eux au stade de l’Abbé-Deschamps d’Auxerre et qu’ils étaient prêts à réserver un traitement peu orthodoxe à la Ligue : on n’a entendu qu’eux ou presque, tout au long de la partie, que leurs favoris ont remportée haut la main – un comble pour des footeux !

A l’exception de deux contre-attaques très dangereuses en première mi-temps, qui rappelaient la sacro-sainte tactique de l’ami Guy Roux à l’époque de la grande AJA, les Auxerrois n’ont jamais vraiment fait peser de menace réelle sur les joueurs de Claudio Ranieri. Les Monégasques ont contrôlé le match tranquillement, sans se précipiter, sans s’affoler, sans trembler. L’affaire était pliée à la mi-temps grâce à Yannick Ferreira Carrasco, auteur d’un doublé en vingt minutes, d’abord après un slalom de grande classe, puis en transformant un pénalty obtenu par Nabil Dirar au bout du bout du temps additionnel de la première période.

Le jeune prodige belge aurait même pu s’offrir un hat trick s’il avait converti en but au moins l’une des incalculables occasions, nettes pour la plupart, que son équipe s’est procurées après la pause. Tous les attaquants asémistes, titulaires et remplaçants réunis, se sont retrouvés en position d’aggraver le score. Malheureusement, par maladresse, par insouciance ou par manque d’application, ils ne sont pas parvenus à réussir le troisième but qui aurait scellé définitivement le sort de la partie et conféré un peu plus d’ampleur et de panache au succès de l’AS Monaco.

Même si, avec un peu plus de conviction, il y avait la place pour un carton plein, tant les Bourguignons étaient déboussolés en seconde mi-temps, cette victoire maîtrisée est précieuse à plus d’un titre. Elle met un terme à quatre nuls consécutifs, elle enrichit la série d’invincibilité de l’ASM qui en est désormais à quinze matches d’affilée sans défaite en quatre mois et, surtout, elle place notre club à huit points devant le quatrième à six journées de la fin. Peu importe le résultat de Nantes lundi soir. L’ASMFC se trouve dans des conditions optimales pour accéder à la Ligue 1 en raflant le titre de Ligue 2 au passage. Clermont et Sedan, ses prochains adversaires du mois d’avril, n’ont qu’à bien se tenir. Monaco ne fera pas de quartier.

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ASMFC-NIORT (N.SIRI)

 Dominer n'est pas gagner (vieux proverbe asémiste).

Cette saison, les supporters monégasques n'auront jamais été véritablement déconcertés par leur équipe au stade Louis-II. En descendant à Fontvieille, ils sont certains que, devant des tribunes qui sonnent à moitié creux, elle partage les points immanquablement une fois sur deux : huit nuls en seize rencontres à domicile, autrement dit 40 % de points gâchés, ce n'est pas, à proprement parler, un parcours de champion sûr de son destin.

Vendredi soir, face à Niort qui lutte pour ne pas tomber en National, l'AS Monaco n'a pas failli à la règle. Comme à l'aller dans les Deux-Sèvres, elle a concédé un nouveau match nul, sur le score de 1 à 1, le 8ème de la saison également. Obéissant à une particularité zoologique étonnante, les Chamois se sont défendus bec et ongles face aux attaquants rouge et blanc qui n'ont jamais renoncé à harceler l'arrière-garde adverse, derrière laquelle le portier multipliait les parades. Mais, comme l'aurait volontiers affirmé le bon La Fontaine, à la soule, rien ne sert de courir, il faut marquer à point.

Si les Niortais ont eu l'insolence de concrétiser leur unique occasion de la partie, les Asémistes ont péché par maladresse, à l'instar d'Ibrahima Touré, à deux reprises en première période, et de son remplaçant Emmanuel Rivière en seconde, sur penalty, qui pis est. Seul Lucas Ocampos, impeccable actuellement, est parvenu à trouver le chemin des filets juste avant la mi-temps, sur un joli service de Yannick Ferreira Carrasco.

Faute du réalisme nécessaire aux plus belles conquêtes, les hommes de Claudio Ranieri n'ont pas pu provoquer la victoire qu'ils auraient aimé remporter pour honorer la mémoire de Marie-Christine Philipps, la directrice des études du Centre de Formation, décédée quelques heures plus tôt. Sans démériter, mais en patinant à nouveau devant un mal classé, l'AS Monaco voit ses poursuivants se regrouper sur ses talons, même si elle conserve encore une avance substantielle sur ses dauphins. Pour éviter toute déconvenue, alors que titre et accession lui sont promis, il lui faut reprendre sa course en avant dès samedi à Auxerre.

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